Sortis de l’ISG ou de l’EPITA, ces diplômés sont des précurseurs. Engagés très tôt dans l’IA ils y ont gagné leurs galons et ouvrent la voie aux jeunes qui vont sortir de l’IA Institut by EPITA & ISG.
Claire Calmejane (EPITA 2005, Chief Innovation Center chez Société Générale)
Mon rôle au quotidien est d’accompagner la transformation d’un groupe de 133 000 collaborateurs dans 61 pays sur des métiers très diversifiés ! Et nos métiers évoluent tous vers un modèle industriel digital utilisant de la donnée pour faire face aux nouveaux entrants : les BigTechs ou les mega Fintechs. La majeure « Intelligence Artificielle » de l’EPITA m’avait préparée à bien comprendre ce rôle décisif qu’allaient jouer ces technologies et comment les utiliser comme des leviers pour moderniser les modèles d’affaires existants et inventer ceux de demain pour une finance plus accessible à tous.
Pour répondre à cet enjeu, le milieu économique doit travailler de concert avec les écoles, la recherche et les organismes de formation, pour disposer des talents nécessaires et contribuer à créer une filière d’excellence en France.
Dans le domaine du numérique, il est facile de trouver du sens à ce qu’on fait, ce qui est très motivant. A la sortie de l’ISG, après en avoir suivi le cursus multinational, j’ai voulu travailler dans un secteur qui m’apparaissait prometteur en cette fin des années 1990, celui de l’internet et du numérique, avec les premiers moteurs de recherche et portails. Je voulais être un acteur de cette révolution qui débutait.
Avec la montée en puissance des data sciences et de l’IA, les entreprises rechercheront de plus en plus, pour leurs fonctions de développement, commerciales, financières ou marketing, des diplômés possédant une triple compétence : business, bien sûr, mais aussi technologique et, enfin, éthique et juridique. Ce que propose IA Institut by EPITA.
Tania Situm (EPITA 2017, Data Engineer chez Meilleurs Agents)
J’ai toujours eu une forte appétence pour les sciences, et étudiante, je voulais avant tout pouvoir lier mathématiques et informatique. La data science et le machine learning me sont alors apparus comme la voie évidente et EPITA faisait partie des très rares écoles d’ingénieur à proposer un tel cursus. Un cursus très complet dans l’IA avec le parfait équilibre en théorie et pratique. Ce qui m’a séduite dans ce secteur est la polyvalence des sujets. Quand on fait de la data science, on peut travailler dans la banque, l’immobilier, le médical… les sujets sont innombrables et les possibilités infinies.
Et les étudiants épitéens sont très appréciés par les employeurs car parfaitement aptes et efficaces dès leurs premiers pas en entreprise !
Alexandre Abraham (EPITA 2009, Senior Research Scientist chez Dataiku)
Mon appétence pour les mathématiques et la programmation, les fondements mêmes de l’IA, m’ont amené à me spécialiser dans l’IA dès ma deuxième année de prépa. J’ai persisté dans cette voie en rejoignant le labo de recherche de l’Epita et en poursuivant mon cursus avec un doctorat. Je suis aujourd’hui chercheur et être au coeur de ce domaine en pleine révolution est une aventure exaltante ! J’apprends tous les jours de nouvelles choses et les partage avec mes collègues.
La formation d’Epita, connue des recruteurs pour conférer une expertise technique et la capacité de travailler vite, bien, et en équipe, a été un avantage indéniable dans mon cursus.
Fanny Riols (EPITA 2016, Applied Research Scientist chez Service Now)
Dès le lycée, j’avais décidé de travailler dans le domaine de l’intelligence artificielle, parce que j’étais très curieuse et enthousiaste de tout ce qu’il était possible de faire avec ce genre de technologies. Aujourd’hui, je travaille sur des projets innovants, participe aux plus grandes conférences internationales dans le domaine, et apprends de nouvelles choses régulièrement. Il y a tellement d’enjeux en IA, qu’il est simple de trouver le domaine et l’entreprise qui correspondent le plus à nos aspirations.
À l’époque de mes études, l’EPITA était pour moi la meilleure école en France pour recevoir une formation en IA. Nous avons fait beaucoup de projets, seul ou en équipe, et appris à apprendre (une compétence très importante en informatique et IA).
Alexandre Henneuse (ISG 2014, cofondateur de Reemo)
L’IA touche tous les métiers, toutes les entreprises ce qui entraine mécaniquement un déplacement des emplois vers des métiers qui n’existaient pas il y a encore 5 ans. Les nouveaux champs applicatifs vont bien au-delà du développement informatique traditionnel. Pour faire naitre ces projets d’IA, nous avons besoin de talents ayant des connaissances à la fois en data et en machine learning dans le but, par exemple, de monter des modèles d’apprentissage.
Mes études à l’ISG m’ont transmis les bonnes compétences pour évaluer les problèmes de nos futurs clients et travailler avec des ingénieurs comme ceux issus de formations ingénieurs telles que l’EPITA.
Julien Perez (EPITA 2005, Machine Learning and Optimization Team Leader, Naverlabs)
L’IA et les sciences et techniques liées aux data sont des disciplines qui permettent aujourd’hui de produire un impact significatif sur le mode de vie de millions d’individus au quotidien. Beaucoup des défis qu’affrontent nos sociétés nécessitent ces outils : écologie, surpopulation, énergie, transport, information et libertés. Cette discipline nous permet d’exprimer notre créativité et de nous confronter quotidiennement à ces problèmes à la fois concrets et complexes.
Sur le plan des talents, notre champ de recherche est aujourd’hui mondial. Ainsi notre centre de recherche, Naver Labs Europe, compte en permanence plusieurs dizaines de nationalités.
En effet, la pénurie de talents dans ce domaine est considérable en France et Europe à tous les stades d’expertise : développeurs, architectes de solutions mais aussi chercheurs. L’EPITA transmet deux qualités intrinsèquement liées et très utiles dans ces disciplines : l’envie d’apprendre, car les nouveautés sont constantes, ensuite la capacité à dépasser ses limites.
L’informatique et les mathématiques appliquées sont des supports adéquats à ces défis personnels. Etre mis en confiance dans le cadre d’une école d’ingénieurs comme l’EPITA est crucial.